Pistolet d'alarme Kimar 92 auto noir 9mm PAK

Introduction:

C’est le célèbre fabricant italien CHIAPPA, très connu pour sa production d’armes à poudre noire plébiscitée par les amateurs du genre qui fabrique sous la marque KIMAR toute une gamme d’armes d’alarme de très belle qualité et notamment des pistolets de calibre 9 mm PAK répliquant avec beaucoup de réalisme des armes célèbres telles que le BERETTA 92 dont s’inspire le pistolet à blanc présenté ici.

Les armes d’alarme:

A l’origine ces armes étaient exclusivement destinées à simuler des tirs dans des cadres cinématographiques, théâtraux, dans des manifestations sportives, pour devenir de plus en plus des armes factices à usage d’alarme et de dissuasion pour la défense personnelle.

L’avènement de nouveaux types de munitions (toujours sans ogive et non létales) permet d’aller au-delà de la dissuasion pour passer dans l’action défensive, c’est notamment le cas des balles au gaz lacrymogène, lesquelles pulsent à plusieurs mètres une certaine quantité d’irritant qui permet d’immobiliser durablement tout agresseur, ce qui laisse le temps de se mettre en sécurité et de prévenir la police.

Ces balles offrent le choix du gaz CS ou du poivre OC, lequel est également efficace sur les chiens errants.

Ceci explique l’incontestable succès que remporte ce type d’arme, très demandé par des chefs d’entreprise « à risque » et de particuliers soucieux de leur sécurité.

Le pistolet KIMAR 92:

Ce pistolet très réaliste dispose de fonctionnalités dignes de l’arme à feu dont il est un réplica, c’est un semi-automatique de type blowback à simple et double action, ce qui signifie que la première munition sera chargée par une traction manuelle sur la culasse, après quoi chaque appui sur la détente enclenchera un des 10 tirs que peut contenir le chargeur.

Le système blowback engendre un spectaculaire aller-retour de la culasse à chaque coup tiré, avec une éjection latérale de la douille usagée comme sur le modèle de référence.

Les balles à blanc 9 mm PAK engendrent des détonations comparables aux vraies, de l’ordre de 130 décibels.

Il est conseillé de panacher les munitions dans le chargeur, de façon à commencer sa défense par des tirs de semonce à blanc qui réussissent la plupart du temps à faire renoncer l’individu et si cela ne suffit pas, de continuer avec des balles lacrymogènes, CS ou GAZ lesquelles, à minima, le feront fuir définitivement.